8.1 - 50 ans après : Le 17 octobre 1961 à Paris - une mythologie macabre qui a la vie dure

XII - 50 ans après - Omerta et mensonges

1/ Les prétendus « massacre » du 17 octobre 1961 par Bernard LUGAN - 2012 - Publié dans LA LETTRE DE VERITAS janvier /février 2013.

2/ Lettre ouverte à Manuel Valls de Manuel GOMEZ -  19 octobre 2012 dans France Presse Infos - Le Gaulois

3/ - Tribune libre de Manuel Gomez, ancien journaliste à L’Aurore, témoin des événements d’octobre 1961 à Paris - 2014
   - Paris "Massacre" du 17 octobre 1961 - un journaliste témoigne : on vous ment  - 23 octobre 2016
   
  (Reproduction autorisée avec la mention suivante @Manuel Gomez pour Dreuz.info)  

 

4/ Lettre d'Antoine Roch  ALBALADEJO, ancien général de la  Légion    Étrangère, président de l’association des Anciens du lycée Ardaillon d’Oran parue dans Secours de France - 2012

 

 

1/ Les prétendus « massacre » du 17 octobre 1961 par Bernard LUGAN : Publié dans LA LETTRE DE VERITAS janvier /février 2013.

Texte transmis par Internet
Publié dans LA LETTRE DE VERITAS janvier /février 2013.

Bernard LUGAN est historien - maître de conférence à l'Université de Lyon

En reconnaissant la responsabilité de l'État et en rendant hommage aux « victimes » de la manifestation interdite du 17 octobre 1961, François Hollande s'est comporté en militant sectaire, non en président de tous les Français.

Internet de ce parfaitement que j'ai pas d'autant plus que, pour les historiens de métier, les prétendus « massacre » du 17 octobre 1961 constituent un tel exemple de manipulation qu'ils sont étudiés comme un cas exemplaire de fabrication d'un mythe ; comme Timisoara en Roumanie, comme les « couveuses » au Koweït ou encore comme les « armes de destruction massive » en Irak.

Tout repose en effet sur des chiffres gonflés ou manipulés et sur les cadavres inventés. Dans une inflation du nombre des morts, les amis du FLN algérien et les porteurs de valises communistes ont ainsi joué sur les dates, additionnant aux trois morts avérés du 17 octobre ceux des jours précédents ainsi que les décès postérieurs. Pour eux, tout nord-africain mort de mort violente durant le mois d'octobre 1961 est forcément une victime de la répression policière… Même les victimes des accidents de la circulation.

Il est possible d'affirmer cela sans crainte d'être démenti car :

En 1998, le premier ministre de l'époque, le socialiste Lionel Jospin, constitua une commission présidée par le conseiller d'État Dieudonné Mandelkern qu'il chargea de faire la lumière sur ces événements. Fondé sur l'ouverture d'archives jusque-là fermées, le rapport remis par cette commission fit litière des accusations portées contre la police française. Or, ce rapport consultable sur le net n'a visiblement pas été lu par François Hollande.

En 1999, Jean-Paul Brunet, universitaire spécialiste de la période, publia un livre extrêmement documenté qui démontait la thèse du « massacre » du 17 octobre (Brunet, J-P, Police contre FLN. Le drame d'octobre 1961, Paris).

En 2003, le même Jean-Paul Brunet publia un nouveau livre (Charonne, lumière sur une tragédie. Paris) dans lequel il démontrait que le prétendu « rapport de police » faisant état de 140 morts le 17 octobre, document qui sert de point de départ a J.L Einaudi, auteur du livre sur lequel repose toute la manipulation (octobre 1961,1 massacre à Paris), n'a jamais existé.

Reprenant la liste des morts donnée par Einaudi, il montre également que la majorité des décès remonte à des dates antérieures au 17 octobre et prouve que ce dernier à manipuler les chiffres, additionnant les cadavres non identifiés reçus à l'institut médico-légal au nombre des disparus et même (!) à celui des algériens transférés administrativement en Algérie après qu'ils eurent été arrêtés le 17 octobre. Il montre enfin qu'Einaudi a compté plusieurs fois les mêmes individus dont il orthographie différemment les noms…

Monsieur Hollande pouvait-il ignorer tout cela ? Si oui, la nullité ou l'aveuglement militant de ses conseillers laisse pantois.

Quel est donc le vrai bilan de cette manifestation ?

– Le 17 octobre 1961, alors que se déroulaient dans Paris un soi-disant massacre, l'institut médico-légal (la morgue), n'a enregistré aucune entrée de corps de « NA » (NA = nord africain dans la terminologie de l'époque).

– Le 17 octobre 1961, de 19h30 à 23 heures, il n'y eut qu'une seule victime dans le périmètre de la manifestation et ce ne fut pas un Algérien, mais un français nommé Guy Chevallier, tué vers 21 heures devant le cinéma Rex, crâne fracassé. Par qui ?

– En dehors du périmètre de la manifestation « seule » de morts furent à déplorer, Abdelkader Déroues tué par balles et retrouvé à Puteaux et Lamara Achenoune tué par balle est étranglé, gisant dans une camionnette, également à Puteaux. Rien ne permet de dire qu'ils furent tués par les forces de l'ordre.

Le 18 octobre, à quatre heures du matin, le bilan qui parvint à Maurice Legay le directeur général de la police parisienne fut donc de trois morts. Nous sommes donc loin des dizaines de morts et de "noyé" auquel l'actuel occupant de l'Élysée a rendu hommage !

Certes, nous dit-on, mais les cadavres ont été déposés à la morgue les jours suivants. Faux, car ce n'est pas ce qu'indiquent les archives de l'institut médico-légal de Paris puisque, entre le 18 et le 21 octobre, « seuls » quatre cadavres de « NA » furent admis à la morgue.

– Le 18 octobre, Achour Belkacem, tué par un policier invoquant la légitime défense et Abdelkader Benhamar mort dans un accident de la circulation à Colombes.

– Le 20 octobre, Amar Malek tué par balles par un gendarme.

– Le 21 octobre Ramdane Mehani, mort dans des circonstances inconnues.

Nous voilà donc bien loin des 100, 200 ou même 300 morts « victimes de la répression » avancée par certains et pour lesquels Monsieur François Hollande a reconnu la responsabilité de la France !

D'autant plus que le « graphique des entrées de corps « N.A » (Nord-africains) par jour. Octobre 1961 », nous apprend que du 1er au 30 octobre 1961, sur les 90 corps de « N. A » entrer à l'institut médico-légal, la plupart étaient des victimes du FLN.

Plus encore, pour toute l'année 1961,308 cadavres de « N. A » entrèrent à l'institut médico-légal, la plupart ayant péri dans la guerre inexplicable que le FLN mené contre ses opposants partisans de l'Algérie française ou du MNA de Messali Hadj.

Ainsi au mois d'octobre 1961, sur les 34 cadavres de « N. A » retiré de la scène de la Marne, notamment aux barrages de Suresnes et de Bezons puis conduit à l'institut médico-légal, la quasi-totalité étaient des harkis, des partisans de la France ou des membres du MNA, une des méthodes d'assassinat du thème consistant à noyer ses opposants. La police française n'est pour rien dans ces noyades.

François Hollande devra donc rendre compte au tribunal de l'Histoire car il a couvert de son autorité un mensonge, une manipulation, un montage grossier qui va être utilisé contre la France par ceux que son ministre de l'intérieur a qualifié « d'ennemis de l'intérieur ».

Texte transmis par Internet
Publié dans LA LETTRE DE VERITAS janvier /février 2013.

 

01

 

Extrait de l’ordonnance de renvoi :

« Qualifications : - d’avoir à Paris, le 21 décembre 2011 tenu les propos suivants sur la chaîne Canal Plus, dans l’émission Happy Hour de M. Thierry Ardisson (et parlé) en ces termes de Bernard Lugan : « … oui, en fait c’est un africaniste de Lyon III et qui est raciste, antisémite, colonialiste, mais nous n’avons pas pu prouver qu’il était négationniste » et ainsi porté des allégations et imputations d’un fait portant atteinte à l’honneur et à la considération de M. Bernard Lugan, délit prévu et réprimé par les articles 23 alinéa 1,9 alinéas 2,42,43,44,46,47 et 48-6 de la Loi du 29 juillet 1881 (..) ».

Est également renvoyé devant le tribunal correctionnel, M. Rodolphe Belmer en sa qualité de directeur de publication de la chaîne Canal Plus.

Pour mémoire, le 30 juin 2004, la Cour d’Appel de Lyon a condamné le même Bruno Julliard-Landau à payer à Bernard Lugan la somme de 4.200 euros à titre d’amende, plus les frais de justice, pour l’avoir accusé de « négationnisme ».
Lord de la même émission du 21 décembre sur Canal Plus, M. Bruno Julliard-Landau a déclaré qu’i considérait cette condamnation « comme un honneur ».

Un haut responsable du parti socialiste, adjoint au maire de Paris et promis à de hautes responsabilités, insulte donc l’institution judiciaire … Nous voilà loin de la « République irréprochable «  chère à François hollande …

Bernard Lugan
Historien – Maître de conférences – Université de Lyon.

 Voir aussi un autre article : ICI

 


XII - 50 ans après - Omerta et mensonges 

2/ Lettre ouverte à Manuel Valls de Manuel Gomez   -  19 octobre 2012 dans France Presse Infos - Le Gaulois

Publié par France Presse Infos

02

Monsieur le ministre,

Vous êtes, je le crois vraiment, un homme sincère, honnête et probablement le ministre qui a le plus bel avenir parmi les membres de ce gouvernement.

Votre ministère possède tous les documents officiels concernant la manifestation interdite du 17 octobre 1961.

Ne pensez-vous pas que votre devoir est de tenir informer le Président de la République sur le nombre véritable de victimes de cette manifestation afin d’éviter qu’il ne se ridiculise en prêtant foi à des chiffres totalement inexacts ?

On le trompe, on vous trompe, on ment à la France et aux Français.

À l’époque j’appartenais à la rédaction du quotidien « L’Aurore » et j’ai enquêté dès le lendemain auprès de la morgue et des services hospitaliers, également auprès des établissements et des riverains qui longeaient la Seine. J’ai accompagné le colonel Raymond Montaner, commandant de la Force Auxiliaire des Harkis de Paris, dont le rôle principal était la protection des Algériens de la région parisienne contre les exactions du FLN, qui a enquêté en compagnie de ses deux adjoints le capitaine de Roujoux et le lieutenant Champsavin et voici le résultat absolument vérifiable de ses conclusions :

Il n’y eut cette nuit du 17 octobre aucune intervention anormale des pompiers parisiens, ni de police secours, ni de la croix rouge, ni d’aucun service d’ambulance.

- Aucun service d’urgence des hôpitaux de Paris et de la banlieue n’a reçu un afflux anormal de blessés.

- 2300 blessés en une seule nuit cela laisse pourtant des traces, non ? Toutes les urgences et même les cliniques privées auraient dû être totalement débordées. Où sont donc passés ces 2300 blessés ? Disparus comme par magie ! Il paraîtrait qu’ils auraient été jetés dans la Seine en même temps que les 300 morts ! L’enquête auprès des barrages en aval de Paris n’a révélé aucune découverte de noyés. Pourtant 300 corps ne se dissolvent pas dans l’eau de la Seine. Les berges sur des kilomètres auraient dû être parsemées de cadavres mais aucun riverain n’en a signalé !!

Peut-on d’un coup de baguette magique escamoter plus de 200 cadavres ?

La vérité est tout autre. En réalité  il n’y eut au cours de cette nuit du 17 octobre que 7 morts, dont 2 seulement sont imputés aux forces de l’ordre, Achour Belkacem et Amar Malek, tous deux agents du FLN. Les 5 autres morts sont 4 Algériens et un Français, Guy Chevalier.

Voilà le bilan exact de ce « massacre » du 17 octobre 1961.

Si l’on conteste ces chiffres que l’on nous donne les noms des 200 morts et plus, si 2300 blessés sont passés par les services hospitaliers les traces existent, qu’on nous les communique.

Nous n’avons pas à nous repentir de quoi que ce soit.

Est-ce que le Président de la République exige une repentance des terroristes du FLN et du MNA qui au cours de sept années ont assassinés 120 gardiens de la paix, plus d’une centaine de civils français et 6000 Algériens ?

Le rôle d’un Président de la République est de défendre l’honneur de la France et non de l’avilir.

Rappelez-le-lui puisqu’il semble lui aussi l’oublier.

 Voir aussi un autre article : ICI 


XII - 50 ans après - Omerta et mensonges

3/ - 3.1 Tribune libre de Manuel Gomez, ancien journaliste à L’Aurore, témoin des événements d’octobre 1961 à Paris - 2014

   - 3.2 Paris "Massacre" du 17 octobre 1961 - un journaliste témoigne : on vous ment  - 23 octobre 2016 (Reproduction autorisée avec la mention suivante : © Manuel Gomez pour Dreuz.info)

3.1 - Tribune libre de Manuel Gomez, ancien journaliste à L’Aurore, témoin des événements d’octobre 1961 à Paris - 2014 

Comme chaque année, depuis plus d’un demi-siècle, le 17 octobre 1961 revient à la Une de la presse de gauche pour dénoncer les soi-disant 200 à 300 victimes (on n’est pas à quelques dizaines près) de la terrible répression policière, suite à la manifestation « pacifique » du FLN (interdite par le préfet), qui, rappelons-le, était tout de même l’ennemi en guerre contre la France à cette époque.

Ces jours-ci on nous raconte (dans Libération) l’histoire d’une jeune écolière musulmane de 15 ans qui avait souhaité participer à cette manifestation et avait disparu ce jour-là.

Son cartable avait été retrouvé 14 jours plus tard dans le canal Saint-Denis, puis son père, membre actif du FLN, était allé reconnaître son corps à l’Institut Médico-légal, parmi une vingtaine de cadavres repêchés.

On peut poser la question : une jeune fille de 15 ans s’était rendue à cette manifestation, à 21 h, la nuit, avec son cartable d’écolière ?

Toute cette histoire est ressortie 25 ans plus tard en 1986, « présentée » par un journaliste de l’Humanité … comme par hasard !

Je me contenterai de rééditer mon article, écrit en octobre 2014, qui rétablit la vérité sur ce 17 octobre 1961.   

Le 17 octobre 1961, j’étais journaliste d’investigation et chroniqueur judiciaire du quotidien l’Aurore, et j’ai enquêté dès le lendemain auprès de la morgue et des services hospitaliers, également auprès des établissements et des riverains qui longeaient la Seine.

J’ai accompagné le colonel Raymond Montaner, commandant de la force auxiliaire des harkis de Paris, dont le rôle principal était la protection des Algériens de la région parisienne contre les exactions du FLN, qui a enquêté en compagnie de ses deux adjoints le capitaine de Roujoux et le lieutenant Champsavin et voici le résultat absolument vérifiable de ses conclusions :

"Il n’y eut cette nuit du 17 octobre aucune intervention anormale des pompiers parisiens, ni de police secours, ni de la Croix rouge, ni d’aucun service d’ambulance".

En revanche voici un autre bilan qu’il ne faut pas laisser sous silence mais dont on ne parle jamais : entre janvier 1955 et juillet 1962, les groupes armés du FLN ont assassiné, en France, plus de 6.000 Algériens, tués par balles, strangulation, égorgement. Également 9.000 cas de mutilations (ablation du nez, des oreilles, des lèvres) soit une moyenne de cinq tués ou blessés par jour, pendant sept ans !

Au cours de ces 7 années il y eu en métropole, 120 gardiens de la paix et 150 civils français assassinés.

Il faut que cela se sache : il y avait la guerre en Algérie mais il y avait également la guerre en France métropolitaine.

Malheureusement la très grande majorité du peuple français qui n’a pas vécu ces événements ignore la vérité qui est souvent déformée et parfois même occultée.

Quand donnera-t-on enfin la parole à ceux qui peuvent apporter la contradiction à ces menteurs qui salissent l’histoire de la France ?

Note : la répression fut particulièrement limitée du côté des forces de l’ordre.


3.2   - Paris "Massacre" du 17 octobre 1961 - un journaliste témoigne : on vous ment  - 23 octobre 2016 (Reproduction autorisée avec la mention suivante : © Manuel Gomez pour Dreuz.info)

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Comme chaque année, depuis plus d'un demi-siècle, le 17 octobre 1961 reevient à la Une de la presse de gauche pour dénoncer les soi-disant 200 à 300 victimes (on n'est pas à quelques dizaines près) de la terrible répression policière, suite à la manifestation "pacifique" du FLN (interdite par le préfet), qui, rappelons-le, était tout de même l'ennemi en guerre contre la France à cette époque.

Ces jours-ci on nous raconte (dans Libération) l'histoire d'une jeune écolière musulmane de 15 ans qui avait souhaité participer à cette manifestation et avait disparu ce jour-là.

Son cartable avait été retrouvé 14 jours plus tard dans le canal Saint-Denis, puis son père, membre actif du FLN, était aller reconnaître son corps à l'Institut médico-légal, parmi une vingtaine de cadavres repêchés. On peut poser la question : une jeune fille de 15 ans s'était rendue à cette manifestation, à 21 heures, la nuit, avec son cartable  d'écolière ? Toute cette histoire est ressortie 25 ans plus tard en 1986, "présentée" par un journaliste de L'Humanité ...

Je me contenterai de réédité mon article, écrit en octobre 2014, qui rétablit la vérité sur ce 17 octobre 1961.

* Le 17 octobre 1961, j'étais journaliste d'investigation et chroniqueur judiciaire du quotidien l'Aurore et j'ai enquêté dès le lendemain auprès de la morgue et des services hospitalier, également auprès des établissements et des riverains qui longeaient la Seine.
* J'ai accompagné le colonel Raymond Montaner, commandant de la Force auxiliaire des Harki de Paris, dont le rôle principal était la protection des Algériens de la Région parisienne contre les exactions du FLN, qui a enquêté en compagnie de ses deux adjoints, le capitaine de Roujoux et le lieutenant Champsavin, et voici le résultat absolument vérifiable de ses conclusions :

 

Voir plus haut   3.1 - Tribune libre de Manuel Gomez, ancien journaliste à L’Aurore, témoin des événements d’octobre 1961 à Paris - 2014

Lire un autre article : ICI

 


 

4/ Lettre d'Antoine Roch  ALBALADEJO, ancien général de la  Légion Étrangère, président de l’association des Anciens du lycée Ardaillon d’Oran parue dans Secours de France - 2012

 

03

 

J'accuse François Hollande de mensonge. Au poste qu'il occupe aujourd'hui François Hollande a tous les moyens de savoir ce qui s'est réellement passé le 17 Octobre 1961 à Paris. Il peut ainsi vérifier que le FLN avait décidé d'organiser une manifestation au cours de laquelle il prévoyait la destruction de quelques installations parisiennes et quelques assassinats ciblés de membres du service d'ordre et du MNA, son adversaire politique.  Il pourra ainsi vérifier qu'il n'y eu pas 300 morts, mais 7, dont un Français, consécutifs à la violence de quelques meneurs du FLN. Quant aux 2300 (!) blessés, on n'en trouve que peu de traces trace, sinon dans les déclarations mensongères d'anciens FLN.

J'accuse François Hollande de saboter tous les efforts faits par notre pays pour intégrer les immigrés. Comment aimer un pays dont le président fait de telles déclarations ? Chacun peut mesurer le désastre provoqué chez les jeunes maghrébins par de tels mensonges.

J'accuse François Hollande d'avoir serré dans ses bras des Ben Bella et autre Bouteflika. Des terroristes qui ont provoqué et encouragé les pires atrocités qui n'aient jamais été commises dans le monde. Des gouvernants qui au pire ont encouragé, sinon au moins fermé les yeux sur les crimes et les tortures atroces dont furent victimes des milliers de Harkis. Un individu, Bouteflika, qui s'est acharné à éradiquer notre langue en Algérie et qui aujourd'hui se noie dans ses mensonges sur la présence Française en Algérie, dont il peut mesurer la réussite tous les jours dans son pays (prêt à demander réparations pour les ports, aéroports, hôpitaux, écoles, barrages, pétrole, gaz, etc...qu'on lui a laissés, intacts).

J'accuse François Hollande de faire semblant d'oublier que 95% des esclaves furent vendus par leurs propres chefs de tribus Africains et que plus de 95% des Français n'avaient rien à voir avec ces crimes au fond de leurs provinces.

J'accuse François Hollande de toujours donner raison aux ennemis de la France, d'attiser leur haine des Français et d'abaisser ainsi son pays. Ce n'est sûrement pas le rôle d'un Président de la République digne de ce nom.

Général Antoine-Roch ALBALADEJO

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