VII - Après le 19 mars 1962 le mensonge d'Evian - Ces années de plomb qui durent depuis1962

1 - Opérations de regroupement de sépultures civiles françaises en Algérie : Accord du Gouvernement Algérie 8 septembre 2004

2 - Algérie : 62 cimetières français condamnés - Nice Matin 2005

3 - Le cimetière chrétien de Lakhdaria (Palestro en 1962) : Une insulte aux morts et aux vivants -  El Watan  Édition du 4 février 2007

4 -  Le scandale des cimetières d'Algérie Communiqué du Clan-R - Paris  29 octobre 2009

5- Plate-forme commune des rapatriés pour la sauvegarde des cimetières chrétiens et juifs d'Algérie novembre 2009 CLAN-R novembre 2009

6 - Les cimetières chrétiens d'Algérie : Association pour la sauvegarde des cimetières d'Algérie Marseille mars 2010  ASCA

7 - Les cimetières juifs profanés et vandalisés Article de David Thomson - sur le site www.judaicalgeria.com

8 - Les cimetières chrétiens et juifs profanés par la mafia du foncier par Abdou Semmar le 23 avril 2007 paru dans Société.

9 - Arrêté du 26 mai 2016 relatif au regroupement de sépultures européennes en Algérie.



VII - Après le 19 mars 1962 le mensonge d'Evian - Ces années de plomb qui durent depuis1962

1 - Opérations de regroupement de sépultures civiles françaises en Algérie : Accord du Gouvernement Algérie 8 septembre 2004

 

Au moment de la Toussaint, chaque année depuis l'exil de 1962, les pieds noirs pensent avec une douleur avivée à leurs morts resté en Algérie.

Ils souhaiteraient pouvoir se recueillir avec leurs enfants et petits-enfants, sur les centaines de milliers de tombes qui couvrent les quelques 600 cimetières chrétiens et juifs de ce pays, ou au moins savoir leurs morts en paix sur la terre qu'ils ont dû eux-mêmes abandonner.

Pourtant, parmi ceux qui le pourraient, très peu d'entre eux ont fait le voyage vers la terre natale où sont inhumés leurs ancêtres, leurs parents, car l'état pitoyable de la plupart des cimetières, chrétiens et juifs, quand ils n'ont pas disparu, rend leur visite inimaginable. Pour ceux qui se sont rendus dans les cimetières, la vision insoutenable des tombes ouvertes, profanées, vandalisées, a constitué un choc qu'ils ont ressenti comme une offense intolérable empêchant toute réconciliation des mémoires.

Cette situation inacceptable est le fait d'un véritable abandon par les pouvoirs publics français qui, entre 1962 et 2003, n'ont pris aucune initiative visant à faire dignement respecter ces lieux, laissés sans protection ni entretien, et qui, aujourd'hui, ne font que des efforts limités de restauration et de réhabilitation. Du côté des autorités algériennes, on note la même absence de volonté de protéger réellement des lieux qui appellent, pourtant, le respect de tous les vivants quelle que soit leur religion.

Au moment où, une grande partie du monde chrétien va se recueillir sur les tombes de ses défunts, on voudrait que les pouvoirs publics, en France comme en Algérie, comprennent la douleur que peuvent ressentir les pieds noirs privés de le faire dans des lieux dignes et respectés.

Mais comment accepter l'indifférence des pouvoirs publics français à l'égard des profanations qui se produisent en Algérie.

A juste titre la profanation ou la dégradation volontaire d'une tombe en France, quelle que soit la culture ou la religion de la famille ainsi blessée, suscite l'indignation et provoque une condamnation immédiate et unanime. Les mêmes faits, en revanche, ne provoquent aucune réaction lorsqu'il s'agit de tombes situées dans les cimetières d'Algérie. Pourquoi les Rapatriés chrétiens ou juifs sont-ils ainsi abandonnés à leur douleur lorsque leurs morts sont concernés ?

Nos associations de Rapatriés dénoncent le manque réel de volonté du gouvernement français d'assurer, avec les autorités algériennes, la sauvegarde de l'ensemble des cimetières, chrétiens et juifs, civils et militaires. Elles reprochent aux pouvoirs publics français et algériens de ne pas faire les efforts nécessaires pour de véritables retrouvailles entre les deux peuples.

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Bd Bru1

cimetiere du Bd Bru


VII - Après le 19 mars 1962 le mensonge d'Evian - Ces années de plomb qui durent depuis1962

2 - Algérie : 62 cimetières français condamnés -  Nice Matin 2005 
    - Région d'Oran: sauver les sépultures - La Provence lundi 11 avril 2016

 

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Journal "NICE MATIN" 2005

 

Cimetiere Oranie00221

Journal "La Provence" lundi 11 avril 2016

 

 cimetière1

 


VII - Après le 19 mars 1962 le mensonge d'Evian - Ces années de plomb qui durent depuis1962

3 - Le cimetière chrétien de Lakhdaria (Palestro en 1962) : Une insulte aux morts et aux vivants -  El Watan  Édition du 4 février 2007

 

Un acte que même un barbare ne saurait accomplir de sang-froid, un acte dont la seule vue rend malade pendant des jours, des tombes ouvertes, d’autres souillées d’immondices.

S’il existe un comble de l’abomination, les profanateurs du cimetière chrétien de Lakhdaria
peuvent être assurés de l’avoir atteint. Deux confrères, habitant ce chef lieu de Daïra, à 45 km au Nord-Ouest de Bouira, et une association culturelle nous signalaient déjà ce sacrilège, mais un responsable local, contacté à ce sujet, le démentait. Il a fallu qu’un internaute, qui a visité un site consacré à la profanation de ce cimetière chrétien, attire de nouveau notre attention sur cette abomination. Et c’en est une en effet.

Un acte que même un barbare ne saurait accomplir de sang-froid, un acte dont la seule vue rend malade pendant des jours : des tombes ouvertes, d’autres souillées d’immondices, voilà le spectacle qui nous attendait mercredi après-midi à notre déplacement en ce lieu qui, naguère était paisible, s’est transformé en un endroit innommable, un enfer. On chercherait en vain la place d’une grille et d’une entrée. Rien ne défend le repos des morts de ce cimetière. Les personnes et les animaux le traversent librement. Le côté Sud-est longé dans toute sa longueur par un grand poulailler. A l’Ouest, le cimetière est défendu par un grand ravin qui plonge directement dans l’oued Issers. Mais les profanateurs viennent de l’Est et du Nord, c'est-à-dire de la ville. Que voyons-nous en arrivant ? Deux jeunes, dont un barbu, assis sur une tombe, dont le dessus en marbre gît dans l’herbe. Ce barbu sait-il que la religion musulmane interdit de s’asseoir sur les tombes ? Il tripote un portable, un couteau sur le rebord de la tombe.

Le lieu retiré nous interdit de faire la moindre remarque désobligeante. Nous nous contentons de réprouver et de condamner sans vouloir accuser personne. D’autant plus que surgissent, d’on ne sait où, d’autres jeunes, qui nous observent à la limite du cimetière. Enfin Rabah, un jeune gaillard, s’approche et mêle sa désapprobation à la notre. Ali, beaucoup moins jeune, et qui prétend être le propriétaire du terrain où se trouve le cimetière, se joint à nous. Ensemble, nous examinons les tombes. Les parois de certains caveaux sont noircies par le feu qu’on y a allumé. D’autres sont pleins de gros cailloux.

Dans l’un d’eux, une main parfaitement conservée, se dresse parmi un tas de gravats comme pour un salut ou pour dire halte à la profanation. Rabah s’engouffre dans le trou, au prix d’un certain effort, la retire et la montre. C’est l’avant bras d’une femme, identifiable aux ongles maculées et aux doigts effilés, l’horreur nous laisse sans voix pour interdire à notre guide d’y toucher. Enfin il replace respectueusement la main là ou elle était. Plus loin une autre tombe. Un os long, tibia ou péroné est visible. Où sont les autres os ? Un peu plus loin, une autre tombe béante livre à notre vue des touffes de cheveux longs et noirs. Une quatrième, une bière en bois, est vide. D’autres caveaux, qui ont essuyés des tentatives de profanation, ont résisté grâce à des grilles en acier. « Regretté par ses parents et amis » dit cette tombe devant laquelle les profanateurs ont échoués devant leur abominable œuvre. Une date 1832 et une autre 1989, marquant la vie du défunt. Parents et amis doivent être quelque part dans le cimetière, pas plus défendus que le cher regretté.

Mais voila qu’Ali nous fait une révélation qui, en rapport à ce qu’il nous a dit plus tôt, à savoir que certains morts ont été transférés ailleurs, nous frappe : Ce sont des Espagnols, des Allemands qui seraient, selon lui, enterrés ici. Les noms sur les tombes sont i peu français, nous semble-t-il, et paraissent lui donner raison. Le même Ali nous apprend qu’une équipe de TF1 nous a précédés. Curieux que son reportage n’ait pas suscité de réactions de part et d’autre de la Méditerranée. Rabah et Karim, deux jeunes chômeurs, proposent de veiller sur le repos des morts et de rendre le cimetière plus propre et plus sécurisé, si on les employait à cette tâche.

Entre temps, le groupe de jeunes a grossi. L’un d’eux nous prend en photo avec son portable. A quelle fin ? Quant à nous, nous quittons cet endroit blessés et écœurés par ce manque de respect aux morts, qui est une insulte aux vivants que nous sommes.

Journal El Watan
Edition du 4 Fevrier 2007

12 11

Les tombes bien entretenues des musulmans en France

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VII - Après le 19 mars 1962 le mensonge d'Evian - Ces années de plomb qui durent depuis1962

4 -  Le scandale des cimetières d'Algérie Communiqué du Clan-R - Paris  29 octobre 2009

Voir l'article

 

Communique 2 Cimetieres entete clan r 001 

Communique 2 Cimetieres entete clan r 002

 Communique 2 Cimetieres entete clan r 003

 


VII - Après le 19 mars 1962 le mensonge d'Evian - Ces années de plomb qui durent depuis1962

5- Plate-forme commune des rapatriés pour la sauvegarde des cimetières chrétiens et juifs d'Algérie novembre 2009 CLAN-R novembre 2009

05

06

Le Comité de Liaison des Associations Nationales de Rapatriés

OPERATIONS DE REGROUPEMENT DE SEPULTURES CIVILES FRANCAISES EN ALGERIE

07

 

cimetières 2.12


VII - Après le 19 mars 1962 le mensonge d'Evian - Ces années de plomb qui durent depuis1962

6 - Les cimetières chrétiens d'Algérie : Association pour la sauvegarde des cimetières d'Algérie Marseille mars 2010  ASCA

Association fondée en 1985, régie par loi 1901.
Marseille le 23 Mars 2010

Chers adhérents et amis,
......
Or malheureusement, d'une part le nombre de donateurs diminue avec les années et la disparition de bien des anciens dont les enfants ne prennent pas souvent le relais, d'autre part les pouvoirs publics sont défaillants, réduisant leurs interventions dans les cimetières et leurs subventions (L'ASCA n'a rien perçu depuis cinq ans).
Nous avons rencontré à plusieurs reprises, à Alger, Monsieur HEUDE, Consul Général de France; il nous avait laissé entendre en Avril 2009 que les crédits d'entretiens et de regroupements des cimetières Français d'Algérie, risquaient d'être réduits; mais à la Toussaint, il nous a informé que ces crédits étaient purement et simplement supprimés ! Et cette annonce a été confirmée le lendemain, au cours d'une entrevue que nous avait accordé Monsieur l'Ambassadeur. Nos pauvres morts ont bien besoin de nous !!!.......

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Cimetière chrétien de Saint Eugène

 


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Mers el Kébir

Cimetières vandalisés


VII - Après le 19 mars 1962 le mensonge d'Evian - Ces années de plomb qui durent depuis1962

7 - Les cimetières juifs profanés et vandalisés Article de David Thomson sur le site www.judaicalgeria.com

 

 

 


Une tombe du cimetière juif d’Alger. Etat actuel.
Photo Claude Amélie Sebbag publiée le 7 juin 2015


Cimetière de Bône vandalisé

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Pour en savoir plus lire l’article de David Thomson. En Algérie des milliers de sépultures juives dépérissent.

Lire les articles : ICI et : ICI

 

"Une âme m'a parlé" de Didier NEBOT Président de Morial 2017

L'autre soir, alors que j'étais dans un demi-sommeil, je me suis retrouvé face à la mer, tout près de Notre Dame d'Afrique, parmi des étoiles de David et des Bibles en pierre déposées sur des stèles endommagées, au milieu d'une colline si desséchée que les larmes ont humecté mes yeux. C'est alors qu'il m'a semblé entendre une voix douce, venue de nulle part, une voix triste :

"Je m'appelle Abraham.
J'ai eu la malchance de me retrouver au mauvais endroit le mauvais jour, puisque je suis mort le 26 mars 1962, lors de la fusillade de la Grande Poste d'Alger. Je fus enterré au cimetière de Saint Eugène, étant l'un des derniers juifs à reposer dans cette si belle terre d'Afrique.

Aujourd'hui je pleure parce que ma tombe vient d'être profanée.
Aujourd’hui je pleure parce que mes restes ont été abandonnés aux affres du néant, je pleure devant tant d'indifférence sur ces viols impunis, je pleure parce que vous m'avez oublié, vous, mes descendants anonymes.

Mon âme est toujours présente, elle vous demande de ne pas la délaisser et de faire entendre sa voix. David, Joseph, Judas, Jacob, Raphaël, Salomon, Mimoun, Aaron, Nessim, mes voisins d'éternité, pleurent aussi. Leurs sépultures ont été détruites et pillées". "
"Qui sont-ils ?"  demandais-je ?

"Ils sont ton passé et ta mémoire"

Envoi de Lucien Gozlan 4 février 2018

 

 


VII - Après le 19 mars 1962 le mensonge d'Evian - Ces années de plomb qui durent depuis1962

8 - Les cimetières chrétiens et juifs profanés par la mafia du foncier par Abdou Semmar le 23 avril 2007 paru dans Société.

cimetières2

 

 


VII - Après le 19 mars 1962 le mensonge d'Evian - Ces années de plomb qui durent depuis1962

9 - Arrêté du 26 mai 2016 relatif au regroupement de sépultures européennes en Algérie.

 

Le 3 novembre 2016

JORF n°0133 du 9 juin 2016

Texte n°2

Arrêté du 26 mai 2016 relatif au regroupement de sépultures européennes en Algérie

NOR: MAEF1612677A

Voir : ICI

Le ministre des affaires étrangères et du développement international,

Vu le décret n° 68-728 du 7 août 1968 portant publication de l’échange de lettres des 29 avril et 20 juin 1968 entre la France et l’Algérie concernant le regroupement des sépultures civiles françaises situées dans certains cimetières d’Algérie ;

Vu le plan d’action et de coopération relatif aux sépultures civiles françaises en Algérie, annoncé par le Président de la République le 3 mars 2003, à Alger ;

Vu l’arrêté n° 16/004 du 14 mars 2016 du ministère de l’intérieur et des collectivités locales algérien portant autorisation de regroupement des cimetières européens en Algérie (cimetières chrétiens et cimetières juifs),

Arrête : 

Article 1

Sur le fondement des propositions formulées par l’ambassadeur de France en Algérie et de l’arrêté du ministère de l’intérieur et des collectivités locales algérien du 14 mars 2016 susvisé, un regroupement en tombes collectives ou ossuaires, selon le cas, de sépultures européennes en Algérie est engagé selon le tableau annexé au présent arrêté. 

Article 2

Les familles pouvant justifier par tout moyen de la sépulture de parents dans les cimetières mentionnés dans le tableau annexé au présent arrêté disposent, à compter de la date de publication du présent arrêté au Journal officiel de la République française, d’un délai de six mois pour faire savoir au consul général territorialement compétent si elles souhaitent effectuer le transfert en France, à leurs frais, des restes mortels de leurs défunts. 

Article 3

Les informations relatives aux modalités de ce transfert font l’objet d’une fiche technique que les familles mentionnées à l’article 2 du présent arrêté peuvent obtenir en se mettant en rapport avec : 

- le ministre des affaires étrangères et du développement international, direction des Français à l’étranger et de l’administration consulaire, sous-direction de l’administration des Français, 27, rue de la Convention, CS 91533, 75732 Paris Cedex 15 ;

- le consul général de France à Alger, 25, chemin Abdelkader-Gadouche, Hydra, 16035 Alger, internet : http://alger.ambafrance-dz.org ;

- le consul général de France à Annaba, 1, rue Gouta-Sebti, BP 323, 23000 Annaba, internet : http://annaba.ambafrance-dz.org ;

- le consul général de France à Oran, 1, rue Aïmeur-Brahim, 31000 Oran, internet : http://oran.ambafrance-dz.org.  

Le directeur des Français à l’étranger et de l’administration consulaire, l’ambassadeur de France en République algérienne démocratique et populaire, le consul général de France à Alger, le consul général de France à Annaba et le consul général de France à Oran sont chargés, chacun en ce qui le concerne, de l’exécution du présent arrêté, qui sera publié au Journal officiel de la République française. 

 

ANNEXE

LISTE DES CIMETIÈRES EUROPÉENS PROPOSÉS POUR LE REGROUPEMENT PAR LA PARTIE FRANÇAISE, RETENUE PAR LA PARTIE ALGÉRIENNE

A. - Circonscription consulaire d’Alger 

WILAYA

CIMETIÈRE CHRÉTIEN DE REGROUPEMENT

CIMETIÈRES CHRÉTIENS À REGROUPER

ALGER

Kouba

Birkhadem

Bir Mourad Rais

WILAYA

CIMETIÈRES JUIFS DE REGROUPEMENT

CIMETIÈRES JUIFS À REGROUPER

AIN DEFLA

Ain Defla

Ain Defla (regroupement partiel)

Khemis Meliana

Meliana

BEJAIA

Bejaia

Kherrata

BLIDA

Blida

Boufarik

DJELFA

Djelfa

El Idrissia

Messaad

GHARDAIA

Ghardaia

Bounoura

Guerrara

M’SILA

Bou Saada

M’Sila

Sidi-Aissa

TIZI OUZOU

Bejaia

Azzefoun

B. - Circonscription consulaire d’Annaba 

WILAYA

CIMETIÈRES JUIFS DE REGROUPEMENT

CIMETIÈRES JUIFS À REGROUPER

BISKRA

Biskra

Biskra (regroupement partiel)

GUELMA

Guelma

Guelma (regroupement partiel)

Oued Zenati

OUM EL BOUAGHI

Ain El Beida

Ain M’Lila

SÉTIF

Sétif

El Eulma

C. - Circonscription consulaire d’Oran 

WILAYA

CIMETIÈRES JUIFS DE REGROUPEMENT

CIMETIÈRES JUIFS À REGROUPER

AIN TEMOUCHENT

Ain Temouchent

Ain El Arbaa

Tamzoura

BECHAR

Bechar

Beni Abbes

Beni Ounif

Kenadsa

CHLEF

Chlef

Tenes

MASCARA

Mascara

Oued Taria

Mohammedia

Mohammedia (regroupement partiel)

Sig

Sig (regroupement partiel)

ORAN

Oran

Oued Tlilette

RELIZANE

Relizane

Ammi Moussa

Oued Rhiou

Zemmoura

TIARET

Tiaret

Tiaret (regroupement partiel)

Frenda

Ksar El Challala

TLEMCEN

Tlemcen

Chazaouet

Nedroma

Ouled Mimoun

Remchi

Fait le 26 mai 2016. 

Pour le ministre et par délégation :
Le directeur des Français à l’étranger et de l’administration consulaire, 

N. Warnery 

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